Moût de raisin frais dont la fermentation alcoolique a été empêchée par un des procédés oenologiques : sulfitage (*) ou mutage par le dioxyde de carbone, carbonication du moût (*) ou à l’acide sorbique (*).
Il est toléré une légère quantité d’éthanol d’origine endogène, dans la limite de 1 % vol.